dimanche, juillet 01, 2007

Le Frictionnaire # 94

Voici une autre page tirée du Frictionnaire:

921. Il n'y a pas de pieds laids. Les pieds sont spirituels. Ils permettent à l'homme de se tenir debout. Ils libèrent ses mains. Maintenant, il peut regarder les étoiles. (Olga Berluti)

922. Un critique ne peut-il pas donner son opinion sur une omelette sans qu'on lui demande de pondre un oeuf? (Clayton Rawson)

923. Ma mère, mon miroir. Mon père, mon tiroir. (Stéphane Laporte)

924. Il est bien difficile de dire si l'homme naît méchant, ou s'il le devient tout de suite. (Henry Becque)

925. La dernière illusion est de croire qu'on les a toutes perdues. (Maurice Chapelan)

926. Et si tout n'était qu'illusion et que rien n'existait. Alors, j'aurais vraiment payé mon tapis beaucoup trop cher. (Woody Allen)

927. De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. (Coluche)

928. Les temps sont durs, les idées sont molles. (François-Bernard Huyghe)

929. Ta liberté finit où mon nez commence. (?)

930. Homme: le singe qui marche comme un poulet. (Chad Oliver)

C'est tout pour cette édition. Vos commentaires et suggestions sont appréciés. Inscrivez-vous et recevez ce blog hebdomadaire dans votre boîte de courriel. À bientôt.

Libellés : , , ,