dimanche, août 07, 2011

Le Frictionnaire # 308

Voici une autre page tirée du Frictionnaire:

3071. Je vous parle d'un temps, (...) où il était incroyablement facile d'aimer son prochain parce qu'il était loin. (Pierre Foglia)

3072. Comme le vent qui cherche, soulevant les plumes
autour du cou du moineau, soulevant les feuilles en vagues, à travers les champs,
il n'y a nulle part où je peux dire,
ici finit mon être. (Colin Oliver)

3073. Qu'est-ce que ça donne d'avoir des télés de plus en plus minces si les émissions sont de plus en plus épaisses. (Laurent Paquin)

3074. Le management c'est bien faire les choses; le leadership c'est faire les bonnes choses. (Peter F. Drucker)

3075. Le besoin de sauver l'humanité est presque toujours un déguisement du besoin de le contrôler. (H.L. Mencken)

3076. Bien n'est pas bien quand on s'attend à mieux. (Thomas Fuller)

3077. L'avantage du pessimisme, c'est qu'on ne peut avoir que de bonnes surprises. (Guy Bedos)

3078. Qu'est-ce qu'on donne à l'homme qui a tout? De la pénicilline. (Jerry Lester)

3079. Même après tout ce temps, le soleil ne dit jamais à la terre: "Tu me dois." Voyez ce qui arrive avec un tel amour. Il illumine le ciel entier. (Hafez)

3080. Ne discutez jamais avec un idiot. Il vous ramènera à son niveau et il a plus d'expérience. (Scott Adams)

C'est tout pour cette édition du Frictionnaire. Vos commentaires et suggestions sont appréciés. Inscrivez-vous et recevez (sans frais) ce blog hebdomadaire. À bientôt.

Libellés : , , ,